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Auteur Guillaume Apollinaire (1880-1918) |
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Alcools ; suivi de le bestiaire ; et de Vitam impendere amori / Guillaume Apollinaire
Titre : Alcools ; suivi de le bestiaire ; et de Vitam impendere amori Type de document : enregistrement sonore Auteurs : Guillaume Apollinaire (1880-1918), Auteur ; Raoul Dufy (1877-1953), Illustrateur Editeur : Paris : Editions Gallimard Année de publication : 1994 Collection : Collection Poésie Paris. 1966, ISSN 0768-0368 num. 10 Importance : 190 p. Présentation : ill., couv. ill. Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-030007-5 Langues : Français (fre) Catégories : Littérature
Poésie et ThéâtreIndex. décimale : 841 Poésie Résumé : Alcools est un recueil de poèmes écrit par Guillaume Apollinaire, paru en 1913. Ce recueil est le fruit de quinze années de poésie d'Apollinaire, et annonce la quête de modernité, de jeu avec la tradition, de renouvèlement formel de la poésie du poète. Alcools est un recueil pluriel, polyphonique, qui explore de nombreux aspects de la poésie, allant de l'élégie au vers libre, mélangeant le quotidien aux paysages Rhénans dans une poésie qui se veut expérimentale, allant d'une quasi perfection formelle et d'une grande beauté (Mai) à un hermétisme, un art du choc, de l'électrochoc, qui a valu à Apollinaire d'être qualifié de mystificateur. Alcools montre le poète déchiré sentimentalement par la rupture amoureuse que l'histoire littéraire a retenu, à travers des poèmes tels que Mai, Les Colchiques, et surtout La Chanson du Mal Aimé.
Guillaume Apollinaire, après avoir assisté à une lecture par Blaise Cendrars lui-même de sa future publication, La Prose du transsibérien et de la petite Jehanne de France, a décidé de métamorphoser son futur recueil, Alcools. Il a donc placé Zone en ouverture du recueil, ce qui en faisait le manifeste, et a supprimé toute trace de ponctuation s'inspirant de l'innovation de Cendrars. Le recueil ayant été publié avant la Prose du Transsibérien, on attribue souvent, de manière erronée, la primeur de la suppression de la ponctuation à Apollinaire. Ce dernier a dit avoir opéré cette suppression car en poésie, le rythme du vers et de la respiration suffisent. Au-delà de cette considération, cette suppression a permis de créer des images inédites en rapprochant certains termes comme par accident. On pense par exemple au vers de Zone : « Ils croient en Dieu ils prient les femmes allaitent des enfants » où, dans une première lecture, à cause de l'utilisation transitive du verbe « croire », l'absence de ponctuation conduit à lire le verbe « prier » comme lui aussi transitif, « les femmes » apparaissant alors comme complément d'objet direct du verbe. Ce procédé crée également des ambigüités de sens, enrichissant les lectures possibles.
Le recueil devait à l'origine s'intituler Eau de vie ; Alcools, moins directement transparent, qualifie métaphoriquement la conception de la création poétique d'Apollinaire. La poésie est en effet envisagée comme alchimie, distillation de l'expérience vécue.N° GIAA : fr-giaa33-1007200y Durée : 2:20 Issu de : lecture Permalink : https://catalogue.apidv.org/index.php?lvl=notice_display&id=4766 Les Onze mille verges ou les Amours d'un hospodar / Guillaume Apollinaire
Titre : Les Onze mille verges ou les Amours d'un hospodar : roman Type de document : enregistrement sonore Auteurs : Guillaume Apollinaire (1880-1918), Auteur ; Michel D?ecaudin (1919-2004), Préfacier, etc. Editeur : Paris : J'ai lu Année de publication : 1973 Importance : 1 vol. (242 p.) Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7202-0035-9 Langues : Français (fre) Catégories : Autres littératures
LittératureRésumé : " Je mets ma fortune et mon amour à vos pieds. Si je vous tenais dons mon lit, vingt fois de suite je vous prouverais ma passion. Que les onze mille vierges ou même onze mille verges me châtient si je mens ! " Le prince Vibescu de Bucarest a grand appétit et il paraît qu'à Paris, les femmes ont cuisse légère. Alors sus, à l'abordage ! Juste là de quoi éveiller notre prince qui entend s'ouvrir à de multiples horizons charnels et entreprend un voyage frénétique où toutes les combinaisons sont possibles.
Mais attention : qui aime bien châtie bien. Ce livre circulait sous le manteau au début du siècle et il fut même chuchoté que l'on y trouvait du " Sade accommodé à la sauce rabelaisienne ".N° GIAA : fr-giaa33abc-00182 Durée : 4:07 Issu de : lecture Permalink : https://catalogue.apidv.org/index.php?lvl=notice_display&id=18153