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C'est encore moi qui vous écris, 1968-2008 / Marie Billetdoux
Titre : C'est encore moi qui vous écris, 1968-2008 Type de document : enregistrement sonore Auteurs : Marie Billetdoux (1951-....), Auteur Editeur : Paris : Stock Année de publication : impr. 2009 Importance : 1 vol. (1481 p.) Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-234-06314-3 Note générale : Contient : "Carnet " / de Rosa Lefay-Billetdoux Langues : Français (fre) Catégories : Littérature
Romans et NouvellesIndex. décimale : 846 Les lettres, correspondance littéraire : procéder comme pour la poésie pour 846/001 à 846.009 et 846.1 à 846.9 Résumé : Monsieur le Président, J'ai l'honneur de solliciter, devant la prochaine Commission, une bourse de création. Le moment est venu pour moi, je crois, de tenter de définir ce projet par écrit, pour mon rattachement social, peut-être, à nouveau, par le Centre National du Livre. Je viens de trouver une définition, à propos des Essais de Montaigne, qui serait parfaite : " Livre déroutant qui n'appartient à aucun genre, sinon celui qu'il crée. " Comme Montaigne " C'est moi-mesure que je peins... Je suis à moi-même la matière de mon livre ". Il s'agit d'une sorte de " coupe en transversale " d'un écrivain (fille de, publiée à dix-neuf' ans), dans sa réalité de tous les jours, sur une distance de quarante années (...), tous éléments, présentés dans l'ordre chronologique, qui entre eux s'articulent pour former un tout comme un dragon chinois, de sorte (lue, sous les yeux du lecteur profane, dans une progression dramatique naturelle - celle de l'existence -- s'écrit en direct, sur le vif, en temps réel, la vie d'un auteur qui n'a jamais vécu que de droits d'auteur et d'amour. Je forme ici le vœu qu'en dépit de ma candidature, puisse demeurer secret jusqu'à sa publication le principe de cet ouvrage, monstrueux monument élevé à mon énigme, à l'énigme de qui auront été mes protagonistes, mais aussi traversée littéraire de l'époque (... ). N° GIAA : fr-giaa75-04417 Durée : 40:43 Issu de : lecture Permalink : https://catalogue.apidv.org/index.php?lvl=notice_display&id=10139 Les choses qu'on ne dit pas / Yves Duteil
Titre : Les choses qu'on ne dit pas Type de document : enregistrement sonore Auteurs : Yves Duteil (1949-....), Auteur Editeur : Paris : l'Archipel Année de publication : impr. 2006 Importance : 1 vol. (235 p.) Présentation : couv. ill. en coul. Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84187-784-3 Langues : Français (fre) Catégories : Biographies Index. décimale : 846 Les lettres, correspondance littéraire : procéder comme pour la poésie pour 846/001 à 846.009 et 846.1 à 846.9 Résumé : "L'enveloppe qu'on décachette, la couleur de l'encre, la texture du papier .. Pour Yves Duteil, rien ne remplace vraiment l'émotion de recevoir une lettre manuscrite. Dans "Les choses qu'on ne dit pas" , il reprend son courrier en retard. Il s'adresse aussi bien à Dieu, qu'à Alfred Dreyfus, Georges Brassens, Félix Leclerc rencontré en 1983 dans son Ile d'Orléans, Renaud, Sa Sainteté le dalaï-lama, sa mère trop tôt disparue qui lui a donné le goût des mots et de la musique, son petit-fils, le chocolat, la Corse... Autant de lettres pour exprimer ses sentiments, mettre des mots sur l'essentiel, autant de lettres à travers lesquelles il se dévoile et s'engage." (l'éditeur) N° GIAA : fr-giaa75bnfa-00955 Durée : 4:30 Issu de : Synthèse vocale Permalink : https://catalogue.apidv.org/index.php?lvl=notice_display&id=14229 Correspondance / Charles Baudelaire
Titre : Correspondance Type de document : enregistrement sonore Auteurs : Charles Baudelaire (1821-1867), Auteur ; Claude Pichois, Editeur scientifique ; Jérôme Thélot, Editeur scientifique Editeur : [Paris] : Gallimard Année de publication : 2000 Collection : Collection Folio Sous-collection : Classique num. 3433 Importance : 479 p. Présentation : couv. ill. Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-041482-6 Note générale : Bibliogr. p. 397-398. Index Langues : Français (fre) Catégories : Biographies Index. décimale : 846 Les lettres, correspondance littéraire : procéder comme pour la poésie pour 846/001 à 846.009 et 846.1 à 846.9 Résumé : " Ma chère mère, Si tu possèdes vraiment le génie maternel et si tu n'es pas encore lasse, viens à Paris, viens me voir, et même chercher. Moi, pour mille raisons terribles, je ne puis pas aller à Honfleur chercher ce que je voudrais tant, un peu de courage et de caresses. À la fin de mars, je t'écrivais : Nous reverrons-nous jamais ! J'étais dans une de ces crises où on voit la terrible vérité. Je donnerais je ne sais quoi pour passer quelques jours auprès de toi, toi, le seul être à qui ma vie est suspendue, huit jours, trois jours, quelques heures. [...] Toutes les fois que je prends la plume pour t'exposer ma situation, j'ai peur ; j'ai peur de te tuer, de détruire ton faible corps. Et moi, je suis sans cesse, sans que tu t'en doutes, au bord du suicide. Je crois que tu m'aimes passionnément ; avec un esprit aveugle, tu as le caractère si grand ! Moi, je t'ai aimée passionnément dans mon enfance ; plus tard, sous la pression de tes injustices, je t'ai manqué de respect, comme si une injustice maternelle pouvait autoriser un manque de respect filial ; je m'en suis repenti souvent, quoique, selon mon habitude, je n'en aie rien dit. Je ne suis plus l'enfant ingrat et violent. De longues méditations sur ma destinée et sur ton caractère m'ont aidé à comprendre toutes mes fautes et toute ta générosité. Mais, en somme le mal est fait, fait par tes imprudences et par mes fautes. Nous sommes évidemment destinés à nous aimer, à vivre l'un pour l'autre, à finir notre vie le plus honnêtement et le plus doucement qu'il sera possible. Et cependant, dans les circonstances terribles où je suis placé, je suis convaincu que l'un de nous deux tuera l'autre, et que finalement nous nous tuerons réciproquement. Après ma mort, tu ne vivras plus, c'est clair. Je suis le seul objet qui te fasse vivre. Après ta mort, surtout si tu mourais par une secousse causée par moi, je me tuerais, cela est indubitable. Ta mort, dont tu parles souvent avec trop de résignation, ne corrigerait rien dans ma situation ; le conseil judiciaire serait maintenu (pourquoi ne le serait-il pas ?), rien ne serait payé, et j'aurais par surcroît de douleurs, l'horrible sensation d'un isolement absolu. Moi, me tuer, c'est absurde n'est-ce pas ? [...] Adieu, je suis exténué. Pour rentrer dans les détails de santé, je n'ai ni dormi, ni mangé depuis presque trois jours ; ma gorge est serrée. - Et il faut travailler. Non, je ne te dis pas adieu ; car j'espère te revoir. Oh ! lis-moi bien attentivement, tâche de bien comprendre. Je sais que cette lettre t'affectera douloureusement, mais tu y trouveras certainement un accent de douceur, de tendresse, et même encore d'espérance, que tu as trop rarement entendus Et je t'aime." N° GIAA : fr-giaa75bsr-00471 Issu de : lecture Permalink : https://catalogue.apidv.org/index.php?lvl=notice_display&id=14312 Lettres à Anne / François Mitterrand
Titre : Lettres à Anne : 1962-1995 Type de document : enregistrement sonore Auteurs : François Mitterrand (1916-1996), Auteur Editeur : [Paris] : Gallimard Année de publication : DL 2016 Importance : 1 vol. (1276 p.) Présentation : ill. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-019724-8 Note générale : Index Langues : Français (fre) Catégories : Biographies
EuropeIndex. décimale : 846 Les lettres, correspondance littéraire : procéder comme pour la poésie pour 846/001 à 846.009 et 846.1 à 846.9 Résumé : En 1962, un homme politique français de quarante-six ans rencontre à Hossegor, chez ses parents, une jeune fille de dix-neuf ans. La première lettre qu'il lui adresse le 19 octobre 1962 sera suivie de mille deux cent dix-sept autres qui se déploieront, sans jamais perdre de leur intensité, jusqu'en 1995, à la veille de sa mort. Les lettres de celui qui fut deux fois président de la République nous dévoilent des aspects totalement inconnus d'un homme profondément secret que chacun croyait connaître.
Deux lettres, parmi des centaines, témoignent de la constance de cet amour. 15 novembre 1964 : "Je bénis, ma bien-aimée, ton visage où j'essaie de lire ce que sera ma vie. Je t'ai rencontrée et j'ai tout de suite deviné que j'allais partir pour un grand voyage. Là où je vais je sais au moins que tu seras toujours. Je bénis ce visage, ma lumière. Il n'y aura plus jamais de nuit absolue pour moi.
La solitude de la mort sera moins solitude. Anne, mon amour". Et la correspondance prend fin le 22 septembre 1995 : "Tu m'as toujours apporté plus. Tu as été ma chance de vie. Comment ne pas t'aimer davantage ?".N° GIAA : fr-giaa54-00730-o Issu de : lecture Permalink : https://catalogue.apidv.org/index.php?lvl=notice_display&id=12094