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787 : Instruments à cordes |
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Django Reinhardt / Noël Balen
Titre : Django Reinhardt : le génie vagabond Type de document : enregistrement sonore Auteurs : Noël Balen (1959-....), Auteur Editeur : [Monaco] : Éd. du Rocher Année de publication : 2003 Collection : Biographie (Monaco), ISSN 1810-4436 Importance : 281 p.-[12] p. de pl. Présentation : couv. ill. Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-268-04561-0 Note générale : Bibliogr. p. 279-280. Discogr. p. 225-278 Langues : Français (fre) Catégories : Arts et Loisirs
BiographiesIndex. décimale : 787 Instruments à cordes Résumé : "Le 16 mai 1953 disparaissait l'un des musiciens les plus fulgurants du xxe siècle. Django Reinhardt est aujourd'hui encore considéré comme un modèle pour les nouvelles générations de musiciens, mais il est surtout devenu un mythe pour la plupart des auditeurs. Ce Manouche secret, dont il n'est pas exagéré d'affirmer qu'il est le plus grand guitariste de l'histoire du jazz, a mené une existence hors du commun où la réalité semble parfois se confondre avec la légende. De sa naissance à Liberchies (Belgique) en 1910 jusqu'à sa mort dans la paisible retraite de Sannois, cette biographie retrace les étapes d'une carrière exceptionnelle et d'une existence riche de contrastes : les premiers bals musettes, l'incendie de sa roulotte et sa main gauche mutilée, la révélation du jazz et la rencontre avec Stéphane Grappelli, la création du Quintette du Hot Club de France, les années de gloire et les dépenses fastueuses, les déceptions américaines auprès de Duke Ellington et les difficiles retrouvailles de l'après-guerre... Autant de moments forts qui jalonnent la pérégrination d'un homme volontiers nonchalant, parfois fantasque, farouchement libre. Django Reinhardt a traversé la fièvre des années 1930 et le chaos de la Seconde Guerre mondiale avec l'élégance détachée de ceux qui se sentent toujours au-delà des contingences, tout simplement ailleurs. Malgré la profusion de son oeuvre discographique et les nombreux témoignages de ses collaborateurs, il demeure toujours un mystère autour de ce génie vagabond dont Cocteau disait : «Il a vécu comme on rêve de vivre : en roulotte.» "Beau comme la rencontre de la musique tzigane et du jazz des années trente... L'âme du jazz gitan, c'est lui. Nombreux sont ceux qui ont tenté, en vain, d'égaler sa sidérante virtuosité. Tout aussi minutieux qu'admiratif, l'essai de Noël Balen ausculte le parcours de Django Reinhardt, le Manouche céleste. De quoi combler le plus maniaque des djangologues..." (note du gestionnaire du serveur : manque la section Chronologie, des enregistrements). N° GIAA : fr-giaa75bnfa-01029 Durée : 06:56 Issu de : Synthèse vocale Permalink : https://catalogue.apidv.org/index.php?lvl=notice_display&id=14820 Moins qu'un chien / Charles Mingus
Titre : Moins qu'un chien Type de document : enregistrement sonore Auteurs : Charles Mingus (1922-1979), Auteur ; Nel King, Editeur scientifique ; Jacques Hess (1926-2011), Autre Editeur : Roquevaire : Parenthèses Année de publication : 1982 Collection : Epistrophy, ISSN 0293-1842 num. 4 Importance : 253 p. Présentation : couv. ill. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86364-016-6 Note générale : Être moins qu'un chien c'est, dit Charles Mingus tout au long de son autobiographie, être noir et musicien de jazz dans une Amérique blanche qui ne quitte l'indifférence ou le mépris de la communauté noire que pour piller ses valeurs culturelles. C'est, heurté aux refus et vexations, à la dépossession, comprendre très vite, si l'on n'accepte pas de se plier aux codes esthétiques dominants, si l'on est porteur d'un monde aussi neuf et intransigeant que l'œuvre mingusien, que l'on ne pourra jamais vivre correctement de sa musique, qu'il faudra au contraire trouver tous les moyens de survivre - jusqu'à l'exploitation d'autrui - pour lui permettre de se faire entendre. Être moins qu'un chien c'est, tout en luttant contre le pouvoir blanc par la charge revendicative de la création, être forcé, dans le quotidien, de jouer son jeu. Charles Mingus : " Ma musique est vivante, elle parle de la vie et de la mort, du bien et du mal. Elle est colère. Elle est réelle parce qu'elle sait être colère. " Et l'écrivain James Baldwin : " Être noir aux États-Unis, c'est être en colère tous les jours. " Quand la rage de Mingus passe par les mots, cela donne cette fresque corrosive qu'est Moins qu'un chien, cynique souvent, impitoyable pour soi, mais surtout pour ceux qui oppressent, copient ou transigent. Pages où la demi-teinte n'est pas de mise ; empreintes de la même " exagération " que les compositions du bassiste - humoreuses, sarcastiques, mais tendres et mélodiques aussi. Ménippée de l'emportement, du désir et de la violence, criant que la transformation du monde s'ouvre par l'affirmation brutale de l'individualité et l'épreuve immodérée de l'amour. Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Catégories : Biographies Index. décimale : 787 Instruments à cordes N° GIAA : fr-giaa75bnfa-00498 Durée : 9:46 Issu de : lecture Permalink : https://catalogue.apidv.org/index.php?lvl=notice_display&id=11471 Pour l'amour d'un stradivarius / Pierre Amoyal
Titre : Pour l'amour d'un stradivarius Type de document : enregistrement sonore Auteurs : Pierre Amoyal (1949-....), Auteur Editeur : Paris : R. Laffont Année de publication : 2004 Importance : 232 p.-[16] p. de pl. Présentation : couv. ill. en coul. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-221-09473-0 Note générale : Discogr. p. 229-232 Langues : Français (fre) Catégories : Biographies Index. décimale : 787 Instruments à cordes Résumé :
Je n'ai pas le temps de distinguer son visage, en partie caché par des cheveux bruns bouclés assez longs.
Ce que je vois, en revanche, c'est que l'individu est au volant de ma Porsche et qu'il démarre en trombe, emportant avec lui le Kochanski, mon bien le plus précieux, le violon qui ne me quitte jamais, mon complice, mon ami, mon amour, mon stradivarius. Et je reste seul devant l'hôtel, frappé de stupeur, pétrifié, anéanti, comme si je me vidais de mon sang et que j'allais mourir sur place. Pour Pierre Amoyal, violoniste de réputation internationale, jouer sur un stradivarius est l'accomplissement d'un rêve : avec cet instrument merveilleux, il enchante le monde.
Jusqu'au jour où, à cause d'une seconde d'inattention... Pendant quatre ans Pierre Amoyal vivra des aventures rocambolesques pour récupérer son violon. Pleine de verve et d'émotion, cette autobiographie d'un musicien amoureux de son art est aussi un polar aux imprévisibles rebondissements - et un hommage à tous ceux qui " font " la musique.N° GIAA : fr-giaa33-0718500y Durée : 8:21 Issu de : lecture Permalink : https://catalogue.apidv.org/index.php?lvl=notice_display&id=2180