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Contre-histoire de la philosophie, 7. La construction du surhomme / Michel Onfray
Titre de série : Contre-histoire de la philosophie, 7 Titre : La construction du surhomme Type de document : enregistrement sonore Auteurs : Michel Onfray (1959-....), Auteur Editeur : Paris : B. Grasset Année de publication : impr. 2011 Importance : 1 vol. (360 p.) Présentation : couv. ill. en coul. Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-246-79089-1 Note générale : Bibliogr. p. 339-346. Index Langues : Français (fre) Catégories : Philosophie Index. décimale : 126 Le moi. Le conscient, la personnalité Résumé : Le XIXè siècle a été celui des Masses, des Individus et des Grands Hommes. L’eudémonisme social (tome 5 de cette « Contre-histoire de la philosophie »), et Les radicalités existentielles (son tome 6), retraçaient respectivement l’histoire philosophique des Masses et des Individus. Ce troisième volet consacré intitulé La construction du surhomme, raconte le rôle tenu par le Grand Homme et son aspiration à la Vie Sublime dans ce siècle.Tuberculeux dopé au stoïcisme, Jean-Marie Guyau (1854-1888) développe une philosophie vitaliste comme une machine de guerre contre la morale kantienne.
Ce malade défend le don, la générosité, le risque, la dépense, l’action dans une œuvre qui pourrait faire de lui un Nietzsche français. Penseur du républicanisme, il formule un hygiénisme, un racialisme, un natalisme, dangereusement parents de l’idéologie de Vichy à venir. Il défend enfin une immortalité panthéiste et stellaire obtenue par les traces de l’amour quand il a été fort.La figure ontologique du « Surhomme » de Nietzsche (1844-1900) n’est pas sans relation avec cette étrange métaphysique que le philo-sophe allemand connaissait.
Nietzsche commence avec Schopenhauer et Wagner, continue avec un long moment épicurien et termine avec l’éloge d’un « Surhomme » ultra-caricaturé. Or, celui-ci nomme l’individu ayant compris que la volonté de puissance a les pleins pouvoirs, qu’il faut vouloir cette volonté qui nous veut, puis l’aimer pour accéder à une jubilation suprême. Une technique de sagesse à la portée de tous.N° GIAA : fr-giaa33-1791300v Durée : 11:05 Issu de : Synthèse vocale Permalink : https://catalogue.apidv.org/index.php?lvl=notice_display&id=12516 Je et tu / Martin Buber
Titre : Je et tu Type de document : enregistrement sonore Auteurs : Martin Buber (1878-1965), Auteur ; Robert Misrahi (1926-....), Préfacier, etc. ; Gabriel Marcel (1889-1973), Préfacier, etc. ; Gaston Bachelard (1884-1962), Préfacier, etc. Mention d'édition : [Nouvelle] éd. revue et augmentée Editeur : [Paris] : Aubier Année de publication : impr. 2012 Collection : Aubier philosophie, ISSN 1248-8658 Importance : 1 vol. (154 p.) Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7007-0429-7 Langues : Français (fre) Langues originales : Allemand (ger) Catégories : Philosophie Index. décimale : 126 Le moi. Le conscient, la personnalité Résumé : Martin Buber (1878-1965) est essentiellement le philosophe de la réciprocité. Il est en effet à l'origine de l'attention toute particulière accordée à la problématique de l'autre dans les philosophies existentielles du XXe siècle. Publié à Heidelberg en 1923, le Je et tu (Ich und Du) suscita, influença ou accompagna les réflexions de Husserl sur la coexistence des intentionnalités, celles de Scheler sur la "sympathie", celles de Jaspers sur la "communication", de Heidegger sur le "mit sein", de Sartre sur le "pour-autrui" et de Lacan sur "l'autre".
Si tous n'ont pas forcément lu ou médité Martin Buber, chacun au moins, par son cheminement autonome, exprime l'importance primordiale de la réflexion sur l'autre. Notamment Levinas, chez qui la philosophie du visage comme signe divin fait écho à la doctrine bubérienne du Face-à-Face. Gaston Bachelard exprime le centre incandescent de l'oeuvre de Buber, dans sa Préface au Je et tu : "Il faut avoir rencontré Martin Buber pour comprendre dans le temps d'un regard la philosophie de la rencontre, cette synthèse de l'événement et de l'éternité.
Alors on sait d'un seul coup que les convictions sont des flammes et que la sympathie est la connaissance directe des âmes. C'est ici qu'intervient la catégorie bubérienne la plus précieuse : la réciprocité".N° GIAA : fr-giaa75-03623 Durée : 05:19:10 Issu de : lecture Permalink : https://catalogue.apidv.org/index.php?lvl=notice_display&id=8215