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El Sexto / José María Arguedas
Titre : El Sexto Type de document : enregistrement sonore Auteurs : José María Arguedas (1911-1969), Auteur ; Ève-Marie Fell, Traducteur Editeur : Paris : Métailié Année de publication : 2011 Collection : Bibliothèque hispano-américaine, ISSN 0295-0154 Importance : 1 vol. (187 p.) Présentation : couv. ill. en coul. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86424-759-3 Langues : Français (fre) Langues originales : Espagnol (spa) Catégories : Littérature
Romans et NouvellesIndex. décimale : 803 Dictionnaires, encyclopédies, concordances Résumé : Le jeune Gabriel est incarcéré au pénitencier El Sexto, au centre de Lima, dans le cadre de la répression des mouvements d’opposition étudiants. Là, il va rencontrer des représentants des partis politiques qui luttent contre le pouvoir despotique. Il découvre les hiérarchies de la prison, où en fonction des étages se côtoient en haut les politiques, puis les droits communs et les délinquants sexuels, et enfin, au rez-de-chaussée, les clochards.
Les politiques se divisent entre partisans de l’APRA (de gauche) et communistes, considérés comme “vendus à l’étranger”. Sous la direction de Poignard les droits communs font régner leur loi, distribuent la drogue et forcent les homosexuels à la prostitution. Gabriel se lie avec Camac, son compagnon de cellule originaire des Andes, syndicaliste communiste, un homme honnête et droit auquel tous rendront hommage quand il mourra.
Il fait la connaissance de Pucasmayo, l’homme jovial, espoir du parti apriste de sa région, qui abattu par la maladie se suicidera pour protester contre l’avilissement auquel est soumis le jeune La Fleur, prostitué par Poignard et devenu fou. Les maîtres de cet inframonde, Poignard, Maravi et Rosita, l’homosexuel à la voix d’ange, luttant pour le pouvoir, s’affrontent à mort. L’assassinat de Poignard déclenchera une répression brutale qui mettra à jour la totale malhonnêteté des autorités légales. Construit sur des dialogues ce roman est, comme le souligne M.
Vargas Llosa, remarquable par la structuration des “personnages collectifs, ces entités grégaires absorbant l’individu effacé par l’ensemble, fonctionnant avec une synchronie de ballet”. J. M. Arguedas, emprisonné en 1938 pour avoir manifesté contre l’arrivée à Lima d’un représentant de Mussolini, a défini El Sexto comme, à la fois, une école du vice et une école de la générosité. Un grand classique de la littérature latino-américaine.
Ce roman a été inspiré à l’auteur par son expérience de la prison politique en 1938.N° GIAA : fr-giaa33-2002500y Durée : 07:15 Issu de : lecture Permalink : https://catalogue.apidv.org/index.php?lvl=notice_display&id=15388 Hérétiques / Leonardo Padura Fuentes
Titre : Hérétiques Type de document : enregistrement sonore Auteurs : Leonardo Padura Fuentes (1955-....), Auteur ; Elena Zayas, Traducteur Editeur : Paris : Métailié Année de publication : 2014 Collection : Bibliothèque hispano-américaine, ISSN 0295-0154 Importance : 1 vol. (605 p.) Présentation : couv. ill. Format : 25 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86424-961-0 Langues : Français (fre) Langues originales : Espagnol (spa) Catégories : Littérature
Romans et NouvellesIndex. décimale : 803 Dictionnaires, encyclopédies, concordances Résumé : En 1939, le S.S. Saint-Louis, transportant quelque 900 juifs qui avaient réussi à fuir l’Allemagne, resta plusieurs jours ancré au large du port de La Havane à attendre l’autorisation de débarquer ses passagers. Le jeune Daniel Kaminsky et son oncle avaient attendu sur le quai l’arrivée de leur famille, sûrs que le trésor qu’ils transportaient convaincrait les fonctionnaires chargés de les contrôler.
Il s’agissait d’une petite toile de Rembrandt qui se transmettait dans la famille depuis le XVIIe siècle. Mais le plan échoua et le navire remporta vers l’Allemagne tout espoir de retrouvailles. Des années plus tard, en 2007, le tableau est mis aux enchères à Londres et le fils de Daniel Kaminsky se rend à Cuba pour savoir ce qui s'y était passé concernant sa famille et le tableau. Il réussit à convaincre le détective Mario Conde de l’aider.
Celui-ci, reconverti dans le commerce des livres anciens, découvre que cette toile représentant le visage du Christ était le portrait d’un jeune homme juif travaillant dans l’atelier de Rembrandt et y ayant étudié la peinture, contre toutes les lois des religieux. Leonardo Padura fait ici un panorama de l’exercice de la liberté individuelle, du libre arbitre à travers diverses époques depuis Rembrandt dans l’Amsterdam du XVIIe siècle, décidant de représenter des individus et non des idées, puis le jeune juif qui ose désobéir au Consistoire et apprend à peindre, et décide ensuite de suivre un nouveau Messie, jusqu’à l’éclosion des tribus urbaines de La Havane où une jeune émo paye de sa vie l’exercice de sa liberté dans une société figée.
Leonardo Padura écrit un livre magnifique et profond et se sert de son habileté d'auteur de roman noir pour nous amener, sous la houlette de son héros Mario Conde, à réfléchir sur ce que signifie notre libre arbitre.N° GIAA : fr-giaa33-1612800y Durée : 33:25 Issu de : lecture Permalink : https://catalogue.apidv.org/index.php?lvl=notice_display&id=11629 L'homme qui aimait les chiens / Leonardo Padura Fuentes
Titre : L'homme qui aimait les chiens Type de document : enregistrement sonore Auteurs : Leonardo Padura Fuentes (1955-....), Auteur ; René Solis, Traducteur ; Elena Zayas, Traducteur Editeur : Paris : Métailié Année de publication : 2011 Collection : Bibliothèque hispano-américaine, ISSN 0295-0154 Importance : 1 vol. (670 p.) Présentation : couv. ill. en coul. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86424-755-5 Langues : Français (fre) Langues originales : Espagnol (spa) Catégories : Littérature
Policiers et EspionnageIndex. décimale : 803 Dictionnaires, encyclopédies, concordances Résumé : En 2004, à la mort de sa femme, Ivan, écrivain frustré et responsable d'un misérable cabinet vétérinaire de La Havane, revient sur sa rencontre en 1977 avec un homme mystérieux qui promenait sur la plage deux lévriers barzoï. Après quelques conversations, "l'homme qui aimait les chiens" lui fait des confidences sur Ramon Mercader, l'assassin de Trotski qu'il semble connaître intimement. Ivan reconstruit les trajectoires de Lev Davidovitch Bronstein, dit Trotski, et de Ramon Mercader, connu aussi comme Jacques Mornard, la façon dont ils sont devenus les acteurs de l'un des crimes les plus révélateurs du XXe siècle. À partir de l'exil de l'un et l'enfance de l'autre, de la Révolution russe à la guerre d'Espagne, il suit ces deux itinéraires jusqu'à leur rencontre dramatique à Mexico. Ces deux histoires prennent tout leur sens lorsque Ivan y projette ses aventures privées et intellectuelles dans la Cuba contemporaine. N° GIAA : fr-giaa75bsr-00461 Durée : 27:38 Issu de : lecture Permalink : https://catalogue.apidv.org/index.php?lvl=notice_display&id=14045