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Les communards / Jean-Pierre Azéma
Titre : Les communards Type de document : enregistrement sonore Auteurs : Jean-Pierre Azéma (1937-....), Auteur Editeur : Tempus Année de publication : 2021 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-262-09639-7 Langues : Français (fre) Catégories : Europe
HistoireRésumé : Le 18 mars 1871, Paris connaît une insurrection révolutionnaire qui aboutit rapidement à l'élection d'un gouvernement populaire, la Commune. Deux mois plus tard, le 28 mai, les insurgés capitulent, à la fin de la " Semaine sanglante ", devant les troupes régulières et le gouvernement de Thiers, replié à Versailles. La répression se révèle impitoyable. La Commune est un moment singulier dans l'histoire de France et demeure encore aujourd'hui l'enjeu d'une bataille mémorielle.
Dans ce texte d'une grande clarté, Jean-Pierre Azéma et Michel Winock racontent - en usant largement de témoignages contemporains - son avènement puis sa chute, mais également ses représentations ultérieures et ses conséquences à long terme. Un grand récit sans parti pris orchestré par deux de nos plus grands historiens.
Caractéristiques
N° GIAA : fr-giaa75-06615 Durée : 05:33 Issu de : lecture Permalink : https://catalogue.apidv.org/index.php?lvl=notice_display&id=16586 La Commune et les Communards / Jacques Rougerie
Titre : La Commune et les Communards Type de document : enregistrement sonore Auteurs : Jacques Rougerie (1932-....), Auteur Mention d'édition : Éd. revue Importance : 1 vol. (426 p.-[8] p. de pl.) Présentation : ill. en coul. Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-275391-6 Note générale : Bibliogr. p. 397-399. Index Langues : Français (fre) Catégories : Histoire Index. décimale : 944 France Résumé : Le 18 mars 1871, Paris, écrasé d'humiliation par la défaite devant les Prussiens, exténué par un siège de quatre mois, se révolte contre une Assemblée nationale monarchiste. La capitale va vivre pendant dix semaines une étrange, une impossible aventure, celle d'une république indépendante, la Commune. Adossée à la mémoire de la Grande Révolution, elle ne durera que soixante-douze jours. La dernière insurrection sociale du XIX ? siècle sera sauvagement écrasée au cours d'une longue et sanglante semaine.
Jacques Rougerie narre cette aventure héroïque et utopique dans la première partie de ce livre, "Paris insurgé" . Puis, dans la deuxième partie, "Le procès des Communards" , il fait entendre les héros, grands ou anonymes, de ces semaines dont nous gardons le souvenir tragique. Devant le conseil de guerre, ils sont là, Louise Michel, Courbet, Rossel, Ferré et tant d'autres, parmi les 36 000 détenus dont aucun historien de la Commune n'avait jamais entendu la voix jusqu'à l'ouverture des 15 000 dossiers inédits de la justice militaire.
Ce qui permet à Jacques Rougerie d'instruire ici publiquement, pour la première fois, le nouveau procès des Communards, loin des mythes d'une sanglante bacchanale ou d'une révolution prolétarienne.N° GIAA : fr-giaa75-06616 Durée : 16:08 Issu de : lecture Permalink : https://catalogue.apidv.org/index.php?lvl=notice_display&id=16587 Commune n'est pas morte(la) / Eric Fournier
Titre : Commune n'est pas morte(la) Type de document : enregistrement sonore Auteurs : Eric Fournier, Auteur Editeur : Paris : Libertalia Année de publication : 2013 ISBN/ISSN/EAN : 978-2652-829-2 Langues : Français (fre) Catégories : Europe
HistoireRésumé : Aujourd'hui analysée par les historiens comme un singulier crépuscule des révolutions du XIXe siècle, la Commune de Paris fut longtemps considérée comme l'aurore des révolutions du XXe siècle, comme une lutte à poursuivre. Cet essai se penche sur les usages politiques des mémoires de cet événement tragique dont la complexité favorise une grande plasticité mémorielle. Et chacun investit cet événement fascinant de ses propres attentes, étroitement liées aux enjeux politiques du temps.
Les mémoires de la Commune sont plurielles et conflictuelles. Répliquant à la violence discursive des versaillais, puis à la volonté d'oubli des républicains modérés, les vaincus imposent dès les années 1880 la montée au mur des Fédérés comme un rituel politique révolutionnaire majeur. A partir des années 1920, les usages mémoriels dominants sont le fait du communisme, et dans une moindre mesure des socialistes et des anarchistes.
Dans le même temps, l'extrême droite est tiraillée entre la redite des outrances versaillaises et la volonté de s'approprier l'épopée communarde. De 1871 à 1971, la Commune est mobilisée, intégrée aux luttes politiques et sociales, contribuant parfois aux victoires des forces de gauche, lors du Front populaire notamment. Elle est alors politiquement vivante. Après le chant du cygne du centenaire (1971) vient le temps de l'apaisement et du déclin.
Mais si la Commune peine à mobiliser aujourd'hui, son mythe apparaît indéracinable et ressurgit ponctuellement dans le champ politique, parfois avec force.N° GIAA : fr-giaa75-05535 Durée : 07:41 Issu de : lecture Permalink : https://catalogue.apidv.org/index.php?lvl=notice_display&id=13462 Communistes contre Staline / Pierre Broué
Titre : Communistes contre Staline : massacre d'une génération Type de document : enregistrement sonore Auteurs : Pierre Broué (1926-2005), Auteur Editeur : [Paris] : Fayard Année de publication : 2003 Importance : 439 p. Présentation : couv. ill. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-213-61544-8 Note générale : En appendice, lexique biographique
GlossaireLangues : Français (fre) Catégories : Europe
HistoireIndex. décimale : 947 Europe de l'Est. Communauté des Etats indépendants (CEI) Résumé : Ils étaient quelques milliers quand ils s'organisèrent en opposition au sein du PC de l'URSS, en 1923. On en fusillait à la mitrailleuse des milliers encore en 1937 et 1938, dans les prisons puis les camps ; des jeunes gens avaient remplacé les vieux bolcheviks assassinés. On les appela " oppositionnels ", " bolcheviks-léninistes ", " trotskystes ", noms qu'ils n'avaient pas choisis mais qu'ils acceptèrent par défi. Ils ont lutté pendant quinze ans, sans jamais s'avouer battus. Exclus du parti, chassés de leur travail, exilés, " déportés ". Vieilles prisons, isolateurs, camps ont entendu leurs débats et leurs chants ; ils défendaient l'idée lumineuse d'un communisme fraternel contre la brutalité et l'inculture staliniennes. À la fin, il ne restait que quelques anciens, le gros était formé de jeunes. En 1932, ils ont rallié autour d'eux tous les autres opposants communistes. Il ne restait plus à Staline qu'à les massacrer jusqu'au dernier dans des camps spéciaux consciemment copiés sur le modèle hitlérien. Cette histoire n'est pas celle d'une lutte politique comme les autres, car il ne fait pas de doute qu'il y a eu des bourreaux et des victimes, et que rien n'autorise l'historien à les renvoyer dos à dos. Méthodiquement étudié comme c'est le cas ici, cet aspect de la terreur stalinienne conduit à revoir l'histoire de l'URSS telle qu'on l'a écrite depuis plus de cinquante ans. N° GIAA : fr-giaa75-04596 Durée : 18:43 Issu de : lecture Permalink : https://catalogue.apidv.org/index.php?lvl=notice_display&id=10640 Composition française, / Mona Ozouf
Titre : Composition française, : retour sur une enfance bretonne Type de document : enregistrement sonore Auteurs : Mona Ozouf (1931-....), Auteur Editeur : Paris : Editions Gallimard Année de publication : impr. 2009 Importance : 1 vol. (258 p.) Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-012464-0 Langues : Français (fre) Catégories : Biographies
Europe
HistoireIndex. décimale : 907 Enseignement et recherche Résumé : La France a toujours vécu d'une tension entre l'esprit national et le génie des pays qui la composent, entre l'universel et le particulier.
Mona Ozouf se souvient l'avoir ressentie et intériorisée au cours d'une enfance bretonne. Dans un territoire exigu et clos, entre école, église et maison, il fallait vivre avec trois lots de croyances disparates, souvent antagonistes. A la maison, tout parlait de l'appartenance à la Bretagne ? L'école, elle, au nom de l'universelle patrie des droits de l'homme professait l'indifférence aux identités locales.
Quant à l'Eglise, la foi qu'elle enseignait contredisait celle de l'école comme celle de la maison. En faisant revivre ces croyances désaccordées, Mona Ozouf retrouve des questions qui n'ont rien perdu de leur acuité. Pourquoi la France s'est-elle montrée aussi rétive à accepter une pluralité toujours ressentie comme une menace ? Faut-il nécessairement opposer un républicanisme passionnément attaché à l'universel et des particularismes invariablement jugés rétrogrades ? A quelles conditions combiner les attachements particuliers et l'exigence de l'universel ? En d'autres termes, comment vivre heureusement la " composition française " ?N° GIAA : fr-giaa33-1000500y Durée : 10:27 Issu de : lecture Permalink : https://catalogue.apidv.org/index.php?lvl=notice_display&id=3996 Comprendre la Chine d'aujourd'hui / Jean-Luc Domenach
PermalinkCondorcet / Élisabeth Badinter
PermalinkLes conférences de Morterolles / Alain Corbin
PermalinkLes conflits d'une mère / Élisabeth Badinter
PermalinkCongo / Éric Vuillard
PermalinkConnaître la préhistoire en Périgord / Gilles Delluc
PermalinkLa conquête du Mexique / Hernán Cortés
PermalinkLa conquête du pain / Pierre Kropotkine
PermalinkConscience contre violence / Stefan Zweig
PermalinkConsidérations sur la France / Joseph de Maistre
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