Résumé : |
Pour le 250e anniversaire de sa naissance, Mozart associé… à la magie de l’Egypte
Il n’a que sept ans, il a déjà beaucoup voyagé pour donner des concerts à Prague, Vienne, Frankfort… et il a un secret qui le console de tout quand il est trop fatigué, un petit trésor personnel, son Rücken : il s’agit d’un royaume imaginaire – dont il est le monarque – joliment dessiné sur une carte qui ne le quitte jamais… Or ce jour, le 25 août 1763, alors qu’il s’apprête à remonter en voiture pour reprendre la route avec son père et sa mère, voilà que la carte a disparu ! On la cherche partout… quand un homme s’approche, un inconnu, qui lui tend le précieux document : — Tu l’as trouvée où ? — Là-bas, répond l’homme, par terre, près du cheval. L’enfant s’appelle Wolfgang Amadeus Mozart, il est déjà ce jeune prodige qui emprunte le clavecin de sa sœur Nannerl pour « chercher les notes qui s’aiment ». Et son sauveur n’est autre que Thamos, comte de Thèbes, venu de Haute-Egypte pour accomplir une mission : découvrir le « Grand Magicien » qui vient de naître en Occident et dont l’œuvre évitera à l’humanité de sombrer dans le chaos. Dès lors l’homme et l’enfant ne se quitteront plus... De Vienne à Prague, en passant par Milan et Paris, on marche sur les pas d’un Mozart composant sans relâche, parfois heureux parfois, souffrant, tour à tour acclamé ou rejeté, adulé ou trahi. Luttant en permanence contre l’insuccès, la jalousie, l’Eglise, le pouvoir, et surtout contre le redoutable policier, Joseph Anton, qui n’a qu’une idée en tête : le détruire. C’est grâce à Thamos, son initiateur et protecteur de toujours, que Mozart trouvera pourtant l’énergie de composer Cosi fan tutte, Les Noces de Figaro et La Flûte enchantée, les grands opéras où il met en lumière l’avenir de l’initiation en Occident.
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