Résumé : |
S'arracher à la terre des siens, n'est pas la fin de l'existence ; Cela ouvre la perspective de s'approprier un horizon augurant de promesses. La douleur de l'exil nous aspire vers l'univers des songes. Se sentir doublement exilé élargit ma vision du monde. Nous sommes tous des exilés, de quelque part, de quelque chose, ou de soi-même. Etre poussé par une force intérieure à quitter sa famille, un lieu, fissure nos croyances et nos attaches.
On parle dans ce cas, de (blessures). Certes, il y a de cela dans notre perception. Mais la subjectivité est telle, qu'on s'aveugle de certitudes. L'essentiel est en nos liens humains, si fragiles. Que nos sentiments s'apaisent devant les épreuves, notre volonté l'exige. |