Résumé : |
«A cause de moi, le Trésor de la Confrérie a disparu dans les flammes et, avec lui, notre seul espoir de gagner la guerre... maintenant, plus rien ne peut arrêter les Autodafeurs. Pour nous protéger, on nous a envoyés sur une île pourrie au fin fond de l'Atlantique. Là-bas, tout le monde bosse mais, moi, je n'ai pas du tout envie de me bouger, surtout pour aller voir le monde s'écrouler et devenir complètement fou.
Si on en est là, c'est de ma faute, alors je préfère rester au lit.» Auguste Mars P.-S. : Ce que mon frère oublie de vous dire (mais comme il ne le sait pas, c'est un peu normal), c'est que TOUT le Trésor de la Confrérie n'a pas été détruit. Il reste deux petits carnets écrits en espagnols que j'avais «empruntés» à Maître Akitori avant qu'il referme son container. Alors, c'est sûr, je n'avais pas vraiment le droit...
mais plus j'avance dans ma traduction, plus je me dis que j'ai bien fait de les garder. Dans cet ultime tome de la trilogie, Césarine, Auguste et Néné se lancent dans un dernier combat désespéré contre les Autodafeurs... Heureusement, ils ne sont plus seuls et leurs nouveaux copains sont aussi timbrés, drôles et attachants qu'eux ! |